Comment se joue le sort de Francazal ?

La base aérienne de Francazal est cédée par l’armée selon une procédure…

C’est la MRAI (Mission de réalisation des actifs immobiliers rattachée au Ministère de la Défense) qui a la charge de céder les emprises devenues inutiles pour l’Armée, selon une procédure précise décrite dans un guide publié par le Ministère de la Défense.

Un extrait de ce guide est reproduit ci-dessus (cliquez pour l’agrandir).

Depuis le mois de mai 2009 nous sommes dans la phase 4 du processus, détaillée ci-après.

Dans le cadre de cette étape, le 15 mai 2009, le comité de pilotage , présidé par le préfet et regroupant les autorités militaires et civiles – au rang desquelles se trouvent les maires des communes concernées, a retenu le groupement « Agence Devillers /DTZ / OGI » pour étudier des solutions d’aménagement de la zone.

Parrallèlement à cette procédure – la DGAC (Direction générale de l’aviation civile) a commandé une étude de faisabilité du transfert de l’aviation d’affaires de Blagnac à Francazal.

Les résultats de cette étude seront transmis à l’Agence Devillers, qui pourra les intégrer à sa propre étude dans la perspective d’une poursuite de l’activité aéronautique de la piste.

2 commentaires “Comment se joue le sort de Francazal ?”

  1. Nous n’avons pas de réponse précise à votre question.

    Il faudrait connaitre le projet de délestage avec plus de précision.

    Mais on peut estimer que les communes qui étaient survolées par les vols militaires continueraient de l’être par les vols civils.

    Nous avons prévu d’associer à notre démarche les habitants des communes de Cugnaux, Portet sur Garonne, Toulouse Saint Simon, Tournefeuille, Plaisance-du-Touch, Villeneuve-Tolosane, Frouzins, mais c’est peut-être un périmètre trop restrictif : nous avons déjà enregistré des adhésions venant de Roques-sur-Garonne et de la Salvetat-Saint-Gilles.

    Nous pourrions envisager de faire entrer d’autres communes dans le collectif, surtout si nous sommes sollicités par leurs habitants.

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