Hollywood-sur-Garonne complémentaire avec une piste d’affaire, selon le patron de l’aviation civile
Surprenant… Quoiqu’il en soit la piste d’affaire reste indésirable dans un environnement urbain dense.
La Dépêche du Midi le 16/06/2011
La Dépêche du Midi le 16/06/2011
La Dépêche du Midi le 17/06/2011
La Dépêche du Midi du 15/06/2011
Une alternative exceptionnelle à l’aéroport de Toulouse-Francazal, ça mérite attention.
Signez la pétition pour inviter les décideurs à l’examiner. [accès à la pétition]
Un nouvel article d’ObjectifNews révèle l’état d’esprit de la Préfecture concernant l’avenir de Francazal, qui peut se traduire par le surtitre que nous avons donné à ce billet.
Après avoir reçu les mandataires de Raleigh Studios, qui portent un projet de création de studio de cinéma sur le site de Francazal, la Préfecture émet un communiqué de presse, qui énonce le cadre dans lequel ce projet pourrait s’inscrire.
On relève que le projet – s’il est maintenu – devra se développer en cohabitation avec l’aéroport et que les hangars – qui étaient convoités pour la création et le stockage de décors – seront réservés à l’aéroport.
Alors que l’avocat de la société « Raleigh Studios » confirme que celle-ci veut l’ensemble du site, le maire de Cugnaux affirme que studio et aéroport doivent coexister, tandis que la préfecture déclare que l’installation d’Atlantic Air Industries ne saurait être remise en cause.
A la une de la Dépêche du Midi du 7 juin 2011
Après l’idée – modeste – du Parc des Expositions, écartée sans examen, voici un projet imposant de studios de cinéma.
Il s’agit du premier projet alternatif au tout aéronautique, susceptible de créer de nombreux emplois s’il aboutit.
Le Collectif Francazal accueille cette nouvelle avec intérêt et demande à être informé du projet avant de prendre une position a priori favorable.
Cette information s’accompagne de nombreuses interrogations :
La dépêche de l’AFP, publiée dès le 1er juin dans le Parisien.fr, rappelle qu’un collectif est opposé à la création de l’Aéroport de Toulouse-Francazal et a déposé une pétition qui a recueilli 5000 signatures.
La presse locale ne semble guère s’en soucier.
Quinze jours après l’annonce de cet événement dans Ouest France [lire], la Dépêche du Midi relaye l’information de la Préfecture [lire] et donne les réactions enthousiastes du directeur de l’entreprise.
Les employés de Saint-Brieuc qui ont reçu une proposition de mutation pour Toulouse à prendre ou à laisser dans une délai de 60 jours, sont beaucoup moins enthousiastes. « La plupart d’entre nous va refuser » [lire]. Et cela se traduira par une perte d’emploi.