En novembre 2009, nous avions interpellé par courrier les candidats aux élections régionales.
Les réponses que nous ont données Martin Malvy et Gérard Onesta n’étaient pas incompatibles, mais alors que M. Malvy se contentait de répondre qu’aujourd’hui les réglementations étaient plus contraignantes et protégeaient l’environnement, M. Onesta affirmait qu’il fallait fermer la piste de Francazal à terme.
Par ailleurs, avant le premier tour des élections régionales, MM. Malvy et Onesta faisaient à la presse, qui les interrogeait sur leur vision de l’avenir de Francazal, les réponses suivantes :
Martin Malvy :
Nous étudierons les propositions du Grand Toulouse mais au préalable l’Etat, propriétaire des terrains et des installations, doit dire ce qu’il compte en faire.
Gérard Onesta :
Pourquoi ne pas créer un éco-quartier, une zone mixte d’éco-tech et de maraîchage de proximité pour nourrir les écoles ou un programme culturel et environnemental ?
Et maintenant ?
Après l’élection, la presse (20 minutes) relève que l’avenir de Francazal fait l’objet de divergences dans la majorité régionale.
Pendant ce temps, l’Etat, représenté par le Préfet, reste silencieux : pas de comités de pilotage, pas d’annonces depuis un trimestre. La réflexion est au point mort et pourtant il se murmure que le principe de garder la piste en activité est acquis depuis longue date.
inadmissible de réouvrir cette piste, qui plus est il est impossible de circuler dans cette région aux heures de pointe et toute cette population qui a choisi cette région pour être tranquile ?