Vraisemblablement, avant la fin de ce mois, l’Etat devrait faire connaître son choix sur l’aménagement de ce site qui s’étend sur 160 ha et dont l’activité militaire se terminera cette année.
Deux scenarii ont cours :
– soit Francazal est reconverti en aérodrome civil avec une activité d’aviation d’affaires ainsi que la création d’activités industrielles liées à l’aéronautique, c’est plutôt la voie souhaitée par la Délégation Générale à l’Aviation Civile (DGAC)
– soit le site ferait l’objet d’un projet urbain avec logements, espaces verts et activités industrielles et tertiaires, c’est l’hypothèse préférentielle de l’agence Devillers, chargée de proposer des solutions.
Cette dernière proposition a, plutôt, les faveurs des habitants concernés.