Recours au tribunal administratif
Nous avons demandĂ© l’annulation de l’arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral qui autorise l’occupation temporaire de Francazal pour l’exploiter en tant qu’aĂ©roport.
Nous avons demandĂ© l’annulation de l’arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral qui autorise l’occupation temporaire de Francazal pour l’exploiter en tant qu’aĂ©roport.
L’interpellation des responsables politiques a imposĂ© la question de Francazal parmi les enjeux de la campagne.
Quelques candidats se sont exprimés de façon claire et complète. Un parti politique a développé sa position. Nous les en remercions.
Nous publions dans cet article les positions des candidats sur la reconversion de Francazal, et, en fin d’article, la position des instances dĂ©partementales des partis qui les soutiennent.
Une nouvelle position
à la veille du deuxième tour.
Parce qu’il dĂ©range, le Collectif Francazal fait l’objet d’accusations virulentes.
Il nous semble donc utile de faire une mise au point et de préciser la démarche de notre association.
Nous publions ici les positions prises par les instances départementales des partis politiques sur la reconversion de Francazal.
A ce jour, nous avons enregistrĂ© la position d’Europe Écologie Les Verts.
Non content de voir le trafic d’hĂ©licoptères s’accroĂ®tre artificiellement du seul fait de la prĂ©sence d’un deuxième aĂ©roport – il faudra bien assurer des liaisons entre Francazal et Blagnac, car les liaisons routières sont impraticables, on laisserait s’installer une Ă©cole de pilotage d’hĂ©licoptères ?
L’aĂ©roport fourre-tout est ouvert aux portes de Toulouse. N’hĂ©sitez pas Ă y apporter ce qu’on vous refuse ailleurs !
Encore quelques projets de cet acabit et Francazal pourra figurer au Guiness des absurdités environnementales.
Article relevĂ© dans l’Usine Nouvelle le 16/02/2011
Alors que l’on s’apprĂŞte Ă dĂ©finir les grands axes du dĂ©veloppement Ă venir de l’aire urbaine (quelques 117 communes gravitant autour de Toulouse) au moyen d’un SCoT (SchĂ©ma de cohĂ©rence territoriale), nous nous sommes Ă©tonnĂ©s de voir que les projets d’urbanisation du secteur de Francazal ne tenait aucun compte de l’avenir de ce site.
En effet, si Francazal devient un aĂ©roport selon la volontĂ© de l’Etat et de quelques lobbies, sous le regard passif des Ă©lus, on ne comprend pas la prĂ©vision d’urbanisation dense le long des trajectoires d’envol vers l’ouest, en direction de Plaisance du Touch, de La Salvetat Saint-Gilles et de LĂ©guevin, ou vers l’est en ditection de Portet et des CĂ´teaux. On est Ă©galement un peu Ă©tonnĂ© de la modestie du projet d’industrialisation du site de Francazal : aurait-on oubliĂ© de reprĂ©senter les 3000 emplois projetĂ©s ?
Mais si, comme c’est probable, le projet de deuxième aĂ©roport doit ĂŞtre abandonnĂ©, pourquoi ne pas avoir tracĂ© une perspective de dĂ©veloppement sur Francazal et ses alentours.
Nous avons voulu faire part de ces interrogations Ă la commission d’enquĂŞte que nous avons rencontrĂ©e au Capitole le 4 fĂ©vrier 2011.
Notre dĂ©marche avait Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©e par celle de nombreux citoyens – plus de 500 – qui ont souhaitĂ© adresser Ă la commission d’enquĂŞte des observations que nous avions diffusĂ©es. Une centaine d’entre eux les ont complĂ©tĂ©es de remarques personnelles.

C’est le titre qu’a choisi la Gazette du Midi.
Cette double interrogation Ă©mane d’un journal Ă©conomique.
Nous formulons les mĂŞmes questions depuis deux ans. Et nous n’avons pas obtenu de vraies rĂ©ponses.
L’avenir, nous le pressentons, va nous donner raison. Encore faut-il veiller Ă la rĂ©versibilitĂ© du choix opĂ©rĂ© en dĂ©pit de nos avertissements.
Lire l’article paru dans La Gazette du Midi du 4 fĂ©vrier 2011.
Étonnant…
Nous mentirait-on depuis deux ans en justifiant le maintien de la piste par les besoins de l’industrie aĂ©ronautique et en annonçant plĂ©thore d’entreprises candidates ?
Et le transfert de l’aviation d’affaires ? Ça ne fonctionne pas ? Personne ne veut d’un aĂ©roport d’affaires Ă Francazal ?
Pas d’industrie, pas d’avions d’affaires : alors, pourquoi s’obstiner ? Fermons dĂ©finitivement la piste.
Lire l’article paru dans 20 minutes le 15/02/2011.