Comme le rappelle le Ministre de la Défense, ce sont les élus qui décideront du sort de Francazal.
Parmi eux, les Présidents de Région ont leur mot à dire.
Dans cette période préélectorale, nous interrogeons les candidats à cette fonction.
2 mars 2010 : Réponse de l’équipe de campagne de M. Gérard ONESTA. Elle va dans le sens de notre revendication.
6 mars 2010 : M. Martin MALVY donne sa position.
Le Collectif, qui a demandé aux maires de recueillir l’avis de leurs conseils municipaux au sujet de la reconversion de Francazal, avait invité ses adhérents à assister à ce conseil.
Une motion demandant la fermeture de la piste n’a recueilli que 4 voix. Une motion présentée par le maire a été adoptée à l’unanimité.
Nous ferons un compte-rendu plus détaillé dès que le maire de Portet nous aura communiqué le texte de sa motion.
Le débat portera sur l’avenir de Francazal.
Le Collectif y participera.
Signature de la pétition contre le maintien de la piste de Francazal
Signature de la pétition contre le maintien de la piste de Francazal.
Dans la revue Objectif News Toulouse de mars-avril 2010, ils répondent à la question :
Quel projet pour remplacer la base militaire de Francazal à Toulouse ?
Ils ne répondent pas.
Les questions que nous posons sont pourtant claires.
Que craignent-ils ? Pourquoi le comité de pilotage a-t-il été mis en sommeil ?
La solution aéronautique est-elle en panne ?
Quoi qu’il en soit, la transparence n’est toujours pas au rendez-vous !
Un reportage de CT2E Toulouse Web, le 19 février 2010
Un nouvel article de la Dépêche du Midi sur Francazal qui donne la parole au maire de Cugnaux pour réfuter les arguments du Collectif.
Dire que la piste est trop courte pour rassurer – ou endormir ? – la population n’a pas de sens. L’allongement de la piste a été étudié : il y a 350 mètres entre une extrémité de la piste et la route de Toulouse et 120 mètres entre l’autre extrémité et la route se Seysses. Il suffit d’effacer les routes – en les enterrant – pour allonger la piste autant que nécessaire !
