L’aticle de la Dépêche du Midi peut être consulté sur le site du quotidien : [Le pari de l’aviation d’affaires à Francazal]
On peut y lire :
« La société Flight Level Business veut développer l’utilisation des avions d’affaire en fonction des besoins du client. De quoi réactiver l’activité sur la base de Francazal.
[…]
Premier acteur de l’aviation d’affaires à Francazal, FLB compte enclencher le mouvement pour de bon. Elle ne sera pas seule. La société d’exploitation de Francazal s’oriente précisément vers l’expansion de l’activité économique de cette zone à fort potentiel. L’abandon du projet de studios de cinéma en décembre 2012 n’a jamais signé l’arrêt définitif du site. Au contraire, en investissant à hauteur de 10 millions d’euros en cinq ans, l’État souhaite relancer durablement l’activité. Il mise surtout sur la complémentarité entre trois secteurs présents sur place : l’activité militaire, la maintenance et l’aviation d’affaires. »
Miser aujourdhui sur l’aviation d’affaires à Francazal est aussi pertinent que ne l’était hier le pari sur l’implantation des studios de cinéma.
Entre 2008 et 2014, le nombre de vols de l’aviation d’affaires a été divisé par deux à Blagnac (de 4152 à 2570 mouvements). Et à Francazal, on est passé de 28 mouvements en 2013 à 124 en 2014 : pas de quoi justifier le maintien d’un aéroport prétendument dédié à l’aviation d’affaires !
En revanche, on constate une augmentation significative du trafic de loisir : est-ce la vocation cachée de Francazal ?
Au vu des statisques de Francazal, ne serait-il pas opportun de reconsidérer l’avenir du site ?